La rubrique de Dita ...

    Des récits et des nouvelles érotiques, vous seront proposés régulièrement dans cette rubrique, par Dita (Kate), dont vous pouvez aussi retrouver son annonce sur le site :
( Ann. N° 43345 ).

 

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... D'autres à suivre prochainement !

 

"Dita et Chris : le plaisir en marche(s) "

 

Trois étages jusqu’à mon canapé, ma douche, mon lit….

 

Trois étages : nous avons le temps pour un petit jeu que je vais entamer et faire durer. Galant, tu me laisses te précéder…

J’entame lentement – très lentement - cette ascension vers notre plaisir. Comme une femelle en rut qui a très envie de son mâle, je veux mettre le feu dans ton bas-ventre...

Mes fesses dansent devant tes yeux. Tu les imagines nues sous ma jupe courte et moulante. Et elles le sont. La seule barrière entre mes cuisses, mon ventre, mon sexe et tes mains, c’est ce tissu noir.

Ma démarche se fait provocante : je me cambre, me déhanche... Je me retourne de temps en temps et surprends à chaque fois tes yeux sur mes fesses...

Je m’arrête net : nous nous retrouvons sur la même marche. Tu te colles à moi, plaques contre mes rondeurs ton sexe déjà dur. Ton corps a réagi : c'est ce que je voulais…

Je poursuis ma lente progression. Mon envie est à son apogée : je suis si excitée que le haut de mes cuisses est mouillé... Volte-face pour ta bouche sur mes seins à travers mon chemisier. Brièvement. Très brièvement. 

 Encore quelques marches. Juste quelques-unes…  Jamais escaliers n’auront été si longs à monter, n’est-ce pas ?
Nous y sommes... Grisés, trempés d’envie. 

Je te plaque contre le mur du vestibule… Tu ne bouges pas. Tu sais que je te veux passif, à ma merci. Comme je le serai à mon tour tout à l'heure.

My eyes in yours…

Je dégrafe ton pantalon et en sors ton sexe, à la verticale triomphante. Tu me regardes humecter un de mes doigts que je passe délicatement, longuement sur ton gland si doux, rose, humide…  Mes yeux toujours rivés aux tiens, je m’agenouille devant toi.  Ma langue passe et repasse sur ta queue raide, mes lèvres l’enserrent. De plus en plus fermement… Je te suce doucement, t’avale entièrement… Je te veux tout à moi. Je te lèche longuement tandis que mes mains s’aventurent sur tes couilles, tes fesses…. 

Stop !

Maintenant, c’est dans mon ventre que je te veux ! Fort. Très fort. A quatre pattes, tête tournée vers toi, mon  regard et mon sourire te supplient de me prendre... Je me veux profondément, délicieusement emplie… Tu t’enfonces rageusement...  

 Tu ne bouges pas. Pas encore... Tes mains jouent avec mes seins, tes dents, très fort, sur ma nuque… Mes hanches ondulent, mes fesses vont et viennent lascivement contre ton bas-ventre, pour t'inciter à me suivre, à te mouvoir en moi.

Tu ne bouges toujours pas : tu me laisses au plaisir de te sentir durcir et grossir encore et encore en moi… 

Enfin – enfin ! - tu n'en peux plus... Tu sors de mon ventre pour mieux t'introduire. La danse commence : de coups de reins rageurs en mouvements plus lents, plus doux, tu me prends… Tu me fais l'amour... Mes mouvements t’accompagnent... On bouge ensemble vers le plaisir... Un plaisir si intense qu'il me fait perdre toute pudeur : je te crie de me baiser, encore et encore... Une  main accrochée à mes hanches, l’autre claquant mes fesses, la profondeur, la violence de ton assaut : le plaisir monte en moi. Très fort. Tu vas jouir aussi : ton jus monte, monte… Tu le sens ?

Tu quittes mon ventre et viens te placer au-dessus de moi. Provocante, ma langue te cherche : elle joue, passe sur mes lèvres, mes dents, ton gland, tes couilles… Je te lèche furieusement pendant que ta main s’active sur ton sexe prêt à exploser... Ton plaisir enfin dans sur ma langue, mais ma bouche qui te garde. Et jouer encore, te caresser encore… Lentement tout doucement….

Encore, encore, encore ! ;-)

Kate

« On n’atteint pas le ciel par un simple saut. Nous construisons l’escalier pour l’atteindre »

(Josiah-Gibbert Holland)